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#Cestmob, les Cestiens se mobilisent...

CESTI

#Cestmob, le mot-dièse qui rassemble toute la famille Cestiène dans le but de partager une information juste dans les réseaux sociaux. Lancé il y a à peine deux semaines, il a été suivi par pas moins de 150 personnes sur Twitter et il a mobilisé aussi pas mal de monde sur Facebook. M. Sosthène DESHOULIERE, étudiant en 1ère Année, a pu revenir sur le principe mais aussi apporté des précisions pour l’utilisation du has-tag, avant d’annoncer des perspectives pour l’avenir.

       Le principe...?

" C’est un has-tag qu’on va utiliser pour des publications sur l’internet, sur les réseaux sociaux Twitter, Facebook… afin  de retrouver en commun tout ce qui est relative comme information à cette référence.Il fallait quelle chose de propre au CESTI. Nous avons remarqué que nous utilisons beaucoup de hastag  sur les réseaux sociaux mais différenement et surtout, c’était pour toute sorte de publication pas forcément intéressante et un peu éparpiller. Et nous  nous sommes dit  que nous allons regrouper tous les cestiens, étudiants comme professionnels et utiliser la même référence pour partager seulement de l’information. »

      … Le but du jeu ?

«  C’est d’utiliser ce mot-dièse pour toutes les publications d’informations. Par exemple, on n’utilise pas ce hastag pour une publication de photo de ‘’riz au poisson’’.  On va l'utiliser pour partager stricte l'information. Comme ça, va permettre aux gens de s’habituer à avoir une information de qualité, vérifiable, en temps réel. De s’habituer à faire des recherches d’informations à partir du hastag #cestmob pour voir tous les publications des cestiens. L’idée est donc de partager que de l’information vérifiée auprès de sources crédibles. Ne pas faire de prises de positions, ni de commentaires.  Et C’est  pour donner une image positive à notre école  et que les gens soient habitués à aller chercher #cestmob pour avoir une information de qualité »

                l'Avenir ?

« Peut-être après monter une agence de presse, un site en ligne, où nous même nous postons nos articles, exercer notre métier de journaliste. Déjà, nous avons un compte twitter du même nom, avec lequel nous reprenons leurs publications avec le hastag sur facebook. En tout cas, il y a pas mal de monde engagé… »

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