Accéder au contenu principal

Dadji Touré, mémoire d'un journaliste retraité !

Crédit : Google

Dadji Touré, ancien journaliste à la RTS,  ancien professeur au CESTI,  ancien diplomate, écrivain a été l'invité du carrefour d'actualité du CESTI de ce mercredi 13 décembre. Il a présenté son dernier ouvrage "Ambivalence ou mémoire de retraite, retraçant son parcours personnel et professionnel.
 Il est notamment revenu sur ses émissions et productions médiatiques de l'époque avec le film documentaire "Senghor sans le superlatif" qui aborde l'homme Senghor dans toute sa dimension humaine, ses relations avec ses partenaires comme Mamadou Dia et sa vie en dors de son "superlatif politique".
         

L'émission le club  de la presse a été aussi présenté aux étudiants ; une émission traitant des sujets de société d'intérêt public ( Un sujet sur le phénomène de la musique Rap avec les jeunes, diffusé pour l'occasion).
                                            
Abordant l'actualité, en tant qu'ancien diplomate, il dira sur la décision deTrump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël que le président américain " défi même la raison car une telle décision ne favorise ni une baisse des tensions ni la paix dans la région du Moyen-Orient". Il a souligné également la position tardive du Sénégal qui témoigne de la faiblesse diplomatique des autres pays face à la suprématie américaine.
Faisant une comparaison de la presse de son temps à celle actuelle, il soulève la question de niveau académique de certains journalistes déplorant le manque de professionnalisme et le niveau de langue.
"L'état de la presse au Sénégal est un état désastreux." Pape Diadji Touré#CESTIcarrefourdactualité
Il évite d'ailleurs les jeunes étudiants  à faire preuve d'originalité et de responsabilité en étant "sélectif, rigoureux et sérieux "

Commentaires

  1. Un journaliste que j'admire beaucoup son proffessionalisme son elegance sa tres belle voix a Marque les beaux temps de la rts

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Santé : Kolda a-t-elle le plus grand ratio de mortalité maternelle au Sénégal ?

Femme enceinte sur une table d'accouchement, juillet  2014/article Dakaractu Invité de l’émission Rfm matin de la radio RFM, le lundi 3 juin 2019, le coordonnateur du Mouvement "Y’en a marre",   Aliou Sané a indiqué que « la région de Kolda est réputée être la région où le taux de mortalité maternelle est plus élevé au Sénégal ». « A Kolda, il y a 500 000 femmes. La région est réputée avoir le plus grand taux de mortalité maternelle au Sénégal et elle ne compte qu’un seul gynécologue » , a-t-il déclaré en évoquant ses « attentes » et la « pertinence » du dialogue national.  Cependant, selon les données dont nous disposons, une seule de ses trois affirmations est vraie. D’où tire-t-il ces informations ? Joint au téléphone le samedi 8 juin, le coordinateur de "Y'en a marre", Aliou Sané nous a indiqué qu’ « il s’est fait l’écho d’un discours porté par des populations de Kolda durant la période élect...

Reportage - Logement à l’UCAD : Dans l’intimité d’une chambre « familiale »

Google_Illustration Ils ont quitté leur village pour rejoindre l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Mais, ils n’ont pas pour autant oublier le sens de la vie en communauté. Dans leur chambre, les frères Diouf et leurs cousins Sarr, originaire du village de Pouth, entretiennent une sulfureuse vie de famille dans un malheureux désordre. Sous la lueur grandissante du crépuscule de ce jeudi, les couloirs de l’université se vident petit à petit de leur monde. Un vent frais souffle au sein du campus social. 19 heures à l’entrée de la porte   du Pavillon D, les mouvements se multiplient. Un groupe de quatre étudiants discutent en rond en bas du bâtiment alors qu’un autre groupe de plus de 15 étudiants rejoint l’intérieur. Juste à droite, trois entre eux, les frères Cheikh, Abdou et Khadim Diouf, montent les manches des escaliers menant au 1 er étage.   Des voix, des pas et de la musique font écho dans le bâtiment.          En moins ...