Le
CESTI a accueilli ce vendredi 10 Mars, M
Jean Paul Marut, un spécialiste de la crise casamançaise. A cette occasion,
l'imminent monsieur est revenu sur les différentes périphéphies de la crise casamançaise. Une
crise d'allure d'une guerre la plus longue du fait de sa longévité, la moins tragique
du fait du nombre pas trop considérable de mort et la plus petite du fait de
son espace géographique. Elle a opposé une forte armée sénégalaise et une
faible mouvement de rébellion le MFDC.
Le
monsieur assure que c’est une crise complexe. S’en sont mêlés plusieurs pays
étrangers. La Guinée Bissau et la Gambie, les plus illustratifs, se sont
retrouvés à aider les rebelles en vue d’affaiblir le voisin sénégalais,
diplomatiquement plus puissante. Une ingérence des pays tels que la Libye,
l’Irak et le Liban qui se sont mêlés à la crise pour anéantir les puissances
occidentales comme la France et l’occident en général. Les Etats-Unis s’en sont
impliqués pour des raisons géostratégiques.
Avec
le départ du dictateur Gambien Yaya Diamé, la paix en Casamance à un avenir
certain, ne reste qu'à bien négocier.
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